De nos jours, dans un monde où tout va toujours plus vite, là où le temps est devenu une denrée rare, il est devenu commun et dans l’esprit collectif de privilégier la rentabilité, la vitesse, les repas sur le pouce ainsi que la non-compréhension de nos émotions qui vont plutôt être masquées ou mises sous cloche afin de nous éviter de trop nous y attarder et de rester productifs.
Cette course contre la montre et cette recrudescence d’agents pathogènes que nous ingérons au quotidien, saupoudrée d’une surconsommation de mauvais gluten, mauvais lait (le problème n’est pas le lait en lui-même mais ce que mangent les vaches qui produisent le lait). Sans même le savoir, ce processus vient fragiliser tout notre système en impactant notre paroi intestinale, notre microbiote qui comporte 80% de notre immunité.
La conclusion de cet article n’est pas de créer une fatalité du monde dans lequel nous vivons et des attentes de cette société qui finit par nous rendre la santé fragile mais plutôt que de continuer dans ce cercle vicieux, remonter à la source et à la base de nos modes de vie, habitudes alimentaires et vision des émotions que nous vivons bien évidemment tous en tant qu’êtres humains.
La seule chose qui change c’est la puissance du masque que nous portons en étant persuadés que certaines émotions sont « négatives », ou « pas utiles ».
Le stress que cela engendre intérieurement dans cette cocotte-minute qui se crée insidieusement est lui aussi responsable de l’inflammation.
Le positif dans tout cela c’est que selon moi tout se créé mais tout peut aussi se transformer et basculer positivement tant sur le plan physique, mental, énergétique.
La seule solution réside dans le faite de reprendre le pouvoir de notre vie, de nos habitudes alimentaires, nos automatismes, nos prismes, nos pensées.
Mélissa
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